Sega-Saturn-Blog

Sega ça tourne

Vendredi 23 mars 2012 à 0:42

Megaman 8
de la 2D comme vous ne l'avez jamais vue,un pur plaisir pour les yeux.
Le meilleur Megaman de toute la serie selon moi !!!
Edité par : Capcom
 Sortie : 27 février 1997
Genre : Action

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Après six épisodes sur NES et un épisode sur Super NES, Capcom décide de refaire un Megaman à l'ancienne, laissant de côté quelques temps la série des Megaman X. Ce huitième épisode est donc une édition spéciale pour fêter le dixième anniversaire de la série, et qui n'aura vu le jour qu'au Japon et aux États-Unis, chose fréquente pour Megamahttp://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/megaman8saturn038.jpgn. Le titre est également sorti sur Playstation, bien que cette dernière ne profite pas de quelques ajouts bonus de la Saturn.

On prend les mêmes, et on re-re-re-recommence

 Capcom est fidèle à sa tradition des choses bien faites. Pourquoi donc les changer ? Ce nouveau Megaman étant en plus un hommage aux précédents épisodes, il fallait bien évidemment reprendre et conserver la ligne directrice de la série.

 Mais qui est donc ce Megaman ? (Oui je vous ai vu les jeunes du fond qui ne connaissez pas la série) Il s'agit ni plus ni moins d'un jeune garçon dans une armure bleue et doté à son bras gauche d'un énorme canon. Depuis le premier épisode il combat le maléfique docteur Wily qui construit des robots ayant des pouvoirs divers.

http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/megaman8saturn023.jpg Le mécanisme de progression est donc le même depuis le tout premier épisode sur NES. Des niveaux s'offrent au joueur qui a le choix de les faire dans l'ordre voulu. Au terme de chaque niveau, il faut affronter un robot qui une fois vaincu nous donne son pouvoir. Ainsi Megaman acquiert de nouvelles capacités tout au long de l'aventure, et on arrive bien vite à voir qu'un certain schéma de progression s'impose afin d'avoir les bons objets aux bons endroits. Autre particularité de la série : sa difficulté caractéristique, qui semble malheureusement ne pas être présente dans cet opus...
 
Petite mise à niveau de la réalisation

 Avec une sortie sur Saturn, il était évident que le jeu allait profiter d'uhttp://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/megaman8saturn047.jpgne réalisation digne de la console. Cette dernière étant une experte de la 2D, on se retrouve face à un Megaman extrêmement agréable visuellement. Les sprites sont de bonne taille, bien animés et très nombreux à l'écran.

 Le jeu vient accompagné de pas mal de scènes animées qui donne un côté bien japonais à l'ensemble. Même si le scénario général reste d'une grande simplicité, ce qui confirme le fait que la série s'adresse essentiellement aux plus jeunes, le déroulement reste agréable du début à la fin sans pour autant devenir très excitant.

 Qu'en est-il de l'histoire justement ? Un robot nommé Duo a affronté un autre robot maléfique dans un terrible combat spatial et ce dernier a été vaincu. Il s'est retrouvé http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/megaman8saturn022m.jpgdispersé sous forme de petites sphères d'énergie maléfique un peu partout dans le monde et bien évidemment le docteur Wily a cherché à se les procurer. On se retrouve donc avec une nouvelle série de robots à vaincre.

 Le jeu est structuré de la façon suivante : un petit stage d'introduction, quatre robots à vaincre dans n'importe quel ordre, un stage de transition, à nouveau quatre robots à vaincre, puis la forteresse finale décomposée en quatre stages. Un menu plutôt convenable donc en terme de longueur, d'autant plus que les stages des huit robots sont assez longs et décomposés en deux parties à chaque fois.

 Des power-ups à gogo

 Cet épisode fait clairement dans l'exhaustif côté bonus en tout genhttp://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/megaman8saturn060.jpgre. On peut déjà compter sur le tir classique ainsi qu'un ballon dans lequel on peut taper comme au foot pour démarrer. Ensuite ce seront huit objets (obtenus des huits robots) qui s'ajoutent à cela. Ainsi Sword Man nous donnera une épée de flamme, Comet Man une pluie de météorites sur l'écran, Clown Man un grappin qui sera utilisé bien souvent dans les niveaux, Aqua Man un tir de bulles d'eau pas très utile, Grenade Man des grenades pour un maximum de dégâts, Frost Man une onde de glace etc... Il faudra donc composer avec tous ces éléments pour progresser dans le jeu.

http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/megaman8saturn035.jpg En plus de cela le jeu propose quarante objets bonus sous forme de vis à trouver dans les niveaux. Ces derniers peuvent être dépensés dans le magasin de docteur Light où Roll se fera un plaisir de donner aux joueurs de nouvelles améliorations. Il y en a bien trop pour pouvoir toutes les acheter et le joueur devra bien les choisir au cours du jeu. Il y a la possibilité de charger le Mega Buster plus vite, de pouvoir tirer plus à la fois, de tirer par salve, une sorte de tir concentré qui se divise en cinq autres tirs, de faire des glissades plus longues etc... Il y a clairement de quoi faire.

 Les stages à thème

La caractéristique de Megaman est justement cette grande variété dans les stages puisque http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/megaman8saturn024.jpgchacun des niveaux adopte un style unique correspondant à son robot. Le joueur se retrouve donc transporté dans des lieux très variés, comme une ville futuriste entièrement gelée avec des passages de snowboard très réussis, une sorte de forteresse volante avec un passage où Rush, le chien de Megaman qui peut se transformer, devient une sorte de planche volante. Le jeu se transforme alors à un shoot'em up bien sympathique. Je n'en dévoilerai pas plus sur les stages mais ceux-ci sont variés et propose toujours des passages originaux qui permettent de bien varier l'aventure.

 On trouvhttp://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/megaman8saturn050.jpge également des compositions très réussies et tout à fait dans l'esprit des opus précédents. D'ailleurs parmi les quelques différences avec l'épisode Playstation, on notera le retour d'anciens robots, dont Cut Man, présent dans le tout premier Megaman. On le recontre ici très bien caché (le trouverez-vous ?) avec son thème classique. Un clin d'oeil bien sympathique.

Enfin on rencontre pas mal de boss intermédiaires dans le stages ainsi qu'à la fin du jeu. Ces derniers permettent de rompre le rythme et de faire des transitions en http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/30900cover.jpgmilieu de stage. D'une manière générale le titre est très réussi, mais il est clairement facile. Il ne faudra que quelques heures pour en venir à bout, et c'est là le plus gros défaut du titre, surtout quand on connaît le côté hardcore des premiers épisodes sur NES.

Megaman 8 fête le dixième anniversaire de notre combattant tout bleu avec beaucoup de soin. On trouvera même des illustrations en bonus dans le jeu. Le titre en lui même est fidèle aux épisodes précédents avec une réalisation actualisée et un enrobage réussi. Le gameplay caractéristique de la série est donc présent avec pas mal de passages plus variés (shoot'em up, snowboard, labyrinthe etc...) et une customisation un peu plus poussée. Le gros regret restera cette simplicité générale du titre qui fait que l'on voit la fin bien trop vite.

Jeudi 22 mars 2012 à 23:34

Shining Force 3
l'année 1998 ou la grande aventure va commencer sur 3 scenario.
Le meilleur jeu de role de la sega saturn éxcusivement votre !!


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Le tactical-RPG est un genre particulièrement bien représenté sur Saturn. Il s'agit probablement de la console qui en a accueilli le plus. Et si parmi tous ces T-RPG, il ne fallait s'essayer qu'à un seul, ça serait sans conteste Shining Force III, scénario 1. Suite directe des deux premiers opus parus sur Megadrive, Shining Force III est un jeu ambitieux qui se déroule sur trois scénarios, chacun étant donc un véritable jeu à part entière. Mais au delà d'une simple séparation de l'histoire en trois grands chapitres, c'est tout un contexte qui va évoluer, avec de nombreuses interactions entre les différents scénarios. Le premier scénario de Shining Force III est le seul à être sorti en Europe, et il constitue avec Panzer Dragoon Saga, le chant du signe de notre belle Saturn dans notre beau pays.
 

Toute une question de savoir faire
 Depuis le premier épisode sorti sur Megadrive en 1992, la grande série des Shining Force a connu pour son développement des équipes extrêmement douées. Climax, Sonihttp://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/ShiningForceIIISaturnEdit001.jpgc Software Planning puis Camelot sont autant de grands noms se cachant derrière cette série mythique, considérée par beaucoup comme étant la fondation du Tactical-RPG, ce qui d'ailleurs n'est vraiment pas volé. Instaurant un gameplay très épuré mais diablement efficace, Shining Force est l'un des T-RPG les moins prise de tête qui ait vu le jour. Le joueur contrôle une équipe allant jusqu'à douze personnages sur des cartes variées, avec un déplacement au tour par tour. Les actions sont simples : attaque, utilisation d'objet ou encore sortilège.
 
Mais derrière cette apparente simplicité se cache en réalité un univers magnifique, une ambiance unique qui aura été entretenue avec brio tout au long des multiples épisodes de la série, que cela soit sur Megadrive aussi bien que sur Game Gear et Mega-CD. C'est aussi en cela que les épisodes sortis sur Saturn sont extrêmement riches : ils puisent dans le savoir faire des grandes équipes étant à l'origine de la série.
 

Un petit bon en avant
 Shining Force III se déroule dans un univers médiéval fantastique, comme chaque épisode de la série. Cependant ce dernier a quelque peu évolué, comprenez par là que c'est moins la cambrousse qu'à l'époque de la Megadrive. Le monde contient de nombreuses villes, relativement développées, quelques infrastructures modernes, avec notamment un système ferroviaire très développé. Le monde est séparé par deux camps opposés : la République et l'Empire. De cette opposition va naître de multiples conflits, phttp://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/397ShiningForceIIIU3.jpglongeant la population dans le chaos.
 
C'est dans le cadre d'une conférence de paix de grande importance entre les deux parties que le jeu démarre. Le joueur incarne Synbios, un prince de la République, et fils de Conrad, un haut représentant. Benetram, le roi, s'apprête à rencontrer l'empereur Domaric afin d'établir une relation paisible entre les deux camps. Le lieu de cette conférence est la ville de Saraband. Cette dernière est en réalité divisée par les deux camps, avec d'un côté les quartiers de l'Empire, de l'autre ceux de la République. Tandis que cette conférence doit débuter, un évènement va venir semer le trouble dans la ville. Des moines masqués appartenant à une secte décident de faire échouer la conférence afin de provoquer le chaos. Leur motivation ? La résurrection d'un dieu maléfique du nom de Bulzome. Ils espèrent profiter du chaos de la guerre afin de mener à http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/shinforce34.jpgbien cette résurrection.
 
Des explosions retentissent dans toute la ville, et le roi Benetram, accompagné de moines de la secte de Bulzome, est surpris par Synbios et ses compagnons en train de kidnapper l'Empereur Domaric ! Synbios et ses collègues s'empressent de retourner au château, voulant y trouver une explication. à leur grande surprise, le roi Benetram est là, tranquillement assis sur le trône, dont il n'a apparemment pas bougé pendant tous les évènements. C'est dans ce contexte, très bien amené il faut le dire, que le jeu débute. Synbios, ne doutant pas de la bonne foi de son roi, décide de l'accompagner afin de le protéger. Car maintenant, le roi est recherché et tenu pour responsable des évènements.
 

Un système de jeu parfaitement rodé
 Les habitués de Shining Force ne seront pas dépaysés. Le jeu reprend les bases extrêmement solides de la série, en y ajoutant de multiples éléments. Le jeu se présente donc comme un T-RPG classique. Les personnages jouent à tour de rôle en fonction de leur vitesse. On ne choisit donc pas l'ordre dans lequel les personnages interviennent, ce qui est une particularité de la série. Les champs de bataille, entièrement réalisés en trois dimensions sur notre chère Saturn, sont relativement vastes, et le déplacement s'y effectue "par cases" comme à l'accoutumée. Les personnages peuvent attaquer, lancer un sortilège ou encore utiliser un objet.
 
Au rang des nouveautés, on notera l'apparition d'un système d'amitié très bien conçu. Chaque personnage, selon sa classe, peut gratifier ses amis d'un bonus particulier s'ils se retrouvent côte à côte durant un affrontement. Pour créer des amitiés, les personnages doivent effectuer des ahttp://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/imagesCAJMHYKK.jpgctions qui les associent entre eux : attaquer le même ennemi à la suite, soigner un collègue ou encore utiliser un sort qui augmente les caractéristiques temporairement sont autant d'actions qui feront monter un personnage dans l'estime des autres.
 
La série s'est également enrichie d'un système de Super Attaques tout simplement jouissif. Désormais les personnages apprennent à manier les armes selon leur type. Au fur et mesure des combats, les personnages s'amélioreront dans leur maniement du type d'arme en question, ce qui aboutira à des bonus à l'attaque, et surtout à l'apprentissage de Super Attaques dévastatrices et très bien réalisées. Il en existe en tout trois par type d'arme. Mais les Super Attaques dépendent également de la classe du personnage qui tient l'arme (ainsi pour des épées, les fines-lames comme le héros n'auront pas le même type de Super Attaques que les Hommes-oiseaux). Au final le jeu contient un peu plus de cent Super Attaques différentes. D'autant plus que certaines armes magiques gratifient le personnage d'une Super Attaque supplémentaire.
 

Le retour de la forge
 Shining Force II sur Megadrive proposait une forge, très bien cachée qui plus est. Dans Shining Force III, il faudra attendre les chapitres 5 et 6 pour pouvoir y accéder. Située dans les villes, les forges permettent de convertir le précieux Mithril accuhttp://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/7849.jpgmulé en de redoutables armes, pour un prix dépendant du type d'arme que l'on veut forger. Au delà du simple Mithril permettant d'obtenir des armes sympathiques (il existe trois armes que l'on peut forger pour chaque type, et bien évidemment le résultat est toujours aléatoire), le joueur découvrira deux nouveaux composants : les Small Mithrils et la Dark Matter. Les petits Mithril permettent de forger des anneaux, une première dans la série ! La matière noire quant à elle permettra de créer des armes maudites redoutables, mais cependant le personnage devra supporter la malédiction et ses effets plus qu'indésirables : notamment le fait de ne pas pouvoir agir, ou de récupérer pour sa pomme une partie des dégâts infligés. Une contrepartie de taille, qui pourra dans les scénarios suivants (mais pas dans le premier) être annulée grâce à un anneau spécial.
 
Les Mithrils sont très nombreux, on en trouve des dizaines tout au long du jeu, ce qui est tout de même plus confortable que la petite douzaine existante dans Shining Force II. On pourra donc dépenser sans compter.
 

Une grande richesse de contenu
 Shining Force III, en plus d'avoir une histoire passionnante, propose un univers enchanteur. Et si c'est vrai pour le premier scénario, ça l'est encore plus pour les deux suivants. Le joueur sera amené à parcourir de magnifiques contrées, en pleine nature, et découvrira également des villes très variées et véritablement réussies. Le jeu adopte un système de Chapitres, tout comme le premier Shining Force. La contrepartie étant que l'on perd le côté ehttp://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/600fullshiningforceiiiscreenshot.jpgxploration qui existait dans Shining Force II, il était cependant très anecdotique puisque la carte du monde ne servait qu'à rejoindre le prochain village ou la prochaine bataille, avec assez peu de liberté et de choses à découvrir.
 
Dans certaines villes le joueur pourra découvrir des cartes au trésor, permettant d'explorer des ruines durant certaines batailles. Ces ruines renferment bien évidemment des trésors de grande valeur. Seulement, il y aura systématiquement des voleurs pour vous prendre de vitesse et vous les piquer sous le nez. Pire encore, seuls ces voleurs sont capables d'ouvrir les coffres renfermant l'objet de toutes vos convoitises. Une course effrénée aura donc lieu à chaque nouvelle ruine, le but étant de rattraper chaque voleur et de lui faire échapper les objets en l'attaquant. Et si les premières ruines sont plutôt faciles, cela devient de vrais casse-têtes sur la fin du jeu. D'autant plus que les deux dernières ruines renferment des invocations !
 
Les invocations sont apparues dans Shining Force II, elles étaient alors au nombre de quatre et ne pouvaient être apprises que par des Invoqueurs. Dans Shining Force III, il faudra trouver les armes permettant de les apprendre. Il existe quatre invocations (et bien plus dans les scénarios qui suivent) et plusieurs armes permettent de les apprendre, elles ont pour noms la Phoenix Sword, le Volcano Wand, le Wendigo Wand ou encore la Mithra Ankh, cette dernière permettant d'apprendre l'invocation de Thanatos, dieu de la mort. Enfin la dernière invocation, le Tiamat, se trouve au fond d'un donjon secondaire immense au terme duquel il faudra affronter un boss détenant le Tiamat Rod, et utilisant d'ailleurs l'invocation contre vous. Un combat épique en perspective.
 
Pour continuer dans la lignée des combats épiques, sachez que le jeu propose des batailles très variées, avec des objectifs eux aussi variés. Si souvent il s'agira de vaincre le boss, les batailles pourront nécessiter une grande réflexion dans certaines situations, notamment la bataille où il faut sauver les réfugiés. Des réfugiés s'apprêtent à embarquer clandestinement dans un train, tout comme notre héros accompagné du roi. Seulement les "Borders Guards" surveillent la zone et n'hésiteront pas à les tuer. En plus de cela, deux trains approchent et risque d'écraser quiconque se mettra sur les voies ferrées ! Une bataille vraiment épique où Dantares, le centaure, devra s'empresser d'activer un levier pour changer l'aiguillage des trains, tandis que le joueur contrôle les réfugiés, tentant tant bien que mal de les sauver tous. Ce qui est d'ailleurs intéressant pour la suite de l'histoire. Julian, le héros du scénario 3 pourra en effet récupérer une bien belle épée de ces mêmes réfugiés, à condition de les avoir tous sauvés dans le scénario 1. Et des interactions de ce type, il en existe des dizaines.
 
Cela m'amène à vous parler des personnages de ce scénario. Ils sont au nombre de vingt, et bien sûr on peut en rater certains. Il faudra donc être très attentif. Mais là où le système de scénario devient extrêmement riche, c'est dans le fait que certaines actions, à priori sans conséquences dans ce scénario, permettront ou non d'avoir d'autres personnages dans les scénarios 2 et 3. Ainsi sauver l'archer Garosh dans la deuxième bataille du jeu permettra de le récupérer dans l'équipe de Medion, héros du second scénario.
 
Parmi les personnages de ce scénario, on notera la présence de deux ninjas, dont un qui est particulièrement bien caché (aller un petit indice : c'est dans le Chapitre 5) qui s'appelle Hagane et qui a tout simplement la classe. Deux centaures, deux hommes-oiseaux, un archer, deux magiciens, deux moines, une prêtresse, deux guerriers et un étrange animal nommé Penn sont autant de personnages présents dans cet épisode. Dans l'ensemble le premier scénario n'est pas très original, surtout lorsque l'on connaît le casting de rêve du troisième scénario (Juste pour vous faire baver : une fée, un dragon (!), une licorne, une prêtresse de Bulzome, un dresseur de monstre etc...)
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Le jeu utilise également le fameux système de promotion, mais on notera la disparition des promotions cachées de Shining Force II, une grosse perte selon moi. Ces promotions cachées étaient excellentes, et en plus elles offraient de petites variantes très agréables dans le cas ou l'on recommence le jeu.
 

La fin d'une série mythique
 Shining Force III est malheureusement le dernier Shining Force en date digne de ce nom. Les épisodes qui ont suivi ne sont que de vulgaires Hack and Slash, peut être très bons, mais n'honorant certainement pas cette série culte en tant que Tactical-RPG. Villages enchanteurs, personnages charismatiques et attachants, Shining Force est une série qui peut se targuer de proposer des personnages à forte personnalité, un point souvent très négligé dans les autres T-RPG, qui répondent souvent par une grande quantité de personnages, sans qualité.
 
Le jeu profite d'une réalisation graphique de bonne qualité, avec un moteur qui a le mérite d'avoir été amélioré au fil des scénarios. Le jeu propose une vue de dessus en trois dimensions, avec des sprites en 2D représentant les personnages et les ennemis à l'écran. Chaque phase d'action (attaque, sort, objet) donne lieu à de magnifiques scènes intégralement en 3D, avec des effets lumineux et de transparence de tous les côtés. Ce qui me rappelle d'ailleurs une polémique à propos de la console : La Saturn incapable de gérer les effets de transparence ? Une réalité ou simplement le doux rêve de certains ? Pour moi la réponse est vite trouvée, même si je suis d'accord pour reconnaître la difficulté de programmation de la machine. En cela, Shining Force III est un jeu bluffant, extrêmement soigné et exploitant pleinement notre belle console.
 
Pour la bande-son, on retrouve aux commandes un Motoi Sakuraba tout simplement génial, peut être pas autant que pour Shining The Holy Ark, qui il faut le dire possède un style musical accrocheur et diablement efficace. Pour Shining Force III, le maître nous propose des compositions plus orchestrales, en osmose totale avec la série. Jamais une bande-son n'avait atteint une telle qualité pour la série des Shining Force. L'OST "Force of Light" est d'ailleurs magnifique, avec des thèmes tout simplement divins. Je pense notamment à "Sanctity" ou encore "Tides of History". Côté musiques, le jeu est donc tout simplement grandiose.
 
Enfin le jeu vient accompagné d'une scène cinématique de haute volée, magnifiquement réalisée. Cette dernière met tout de suite le joueur dans l'ambiance et dévoile quelques personnages ainsi que des ennemis clefs du l'épisode. Un plus franchement agréable.
 
Shining Force III est le genre de jeu que l'on gobe tout cru. Alignant tranquillement une trentaine d'heures de jeu (à multiplier par trois pour ceux qui feront les trois scénarios) le jeu est un bonheur à parcourir. Proposant une histoire captivante et extrêmement bien construite, l'immersion est totale et on est véritablement passionné par l'avenir du monde et des deux factions. Parallèlement à cela la résurrection du maléfique Bulzome n'augure rien de bon, et déjà le joueur commence à entrevoir les histoires des deux autres héros que sont Medion et Julian. Un récit mené avec une main de maître et un chef d'oeuvre supplémentaire sur notre Saturn adorée.
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Personnages a debloquer
Avoir Hayward
Sauver le dans la bataille de saraband bridge ; chapitre 1
Avoir Horst
Parler lui dans la maison du soldat dans Flagard
Avoir Irene
Sauver la dans railhead Quand vous étes au cargo.
Difficulté et Music select
Finissez le jeu avec tous les 5 personnages secrets,et sauvegarder pour debloquer la difficulté et le sound test du jeu.
Avoir Frank
Il est dans Flagard, mettez le dans votre QG.
Avoir Hagane
Pendant ou aprés la bataille de ''Tower to Observatory'', verifiez le 5éme pilier,et il viendra dans votre groupe.
Avoir Noon
dans la bataille du manoir (Rilix), ne pas tuez les zombies. laisser kahn utiliser sa boule de cristal pour avoir Noonaprés cette bataille dans le manoir en quittant les lieux.
Avoir Pen
1) Au train, trouver la nourriture a poules, utilser la sur une poule.
2) Dans Vagabond City, achetez un oeuf sur les deux couples.
3) Utiliser l'oeuf sur la poule.
4) Pen va éclore et prendre la fuite.
5) Trouver le dans Storich.
Avoir Ratchet
Dans le manoir en defiant Vandal, cherchez dans les chambres, et appuyer sur un interupteur dans la salle des machines. Ratchet va prendre la fuite. Parler lui dans Vagabond City,il va encore fuire. c'est dans Dragon Cave qu'il va regoindre votre groupe.
La clé du bateau
Dans la bataille de Figard's castle, attaquez Fiale,il va laisser tomber une clé.qui sera ensuite utilisé dans le Scenario 2.
Untie Bernard
Dans Balsamo City, aller dans le inn, en haut. trouver une porte secréte, d'ou untie Bernard. vous pouver l'utiliser dans le Scenario 2.
 

 

Mercredi 21 mars 2012 à 20:59

Castlevania Symphony of the Night
Akumajo Drakula X au japon
Ce jeu restera pour moi le meilleur castlevania de tout les temps 10/10 a ne pas manquer sous aucun pretexte !!!
sortit en 1998 par konami sur Saturn et playstation

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Quand konami frappe elle frappe fort,et trés fort méme...
Opus mythique de la grande série des Castlevania, l'épisode intitulé Symphony of the Night a vu le jour sur notre chère Saturn en 1998. Le jeu est alors sorti depuis déjà un an http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/castlevaniasof3.jpgpartout dans le monde sur la concurrente de l'époque, la Playstation de Sony. SOTN en abrégé est le premier épisode de Castlevania à avoir introduit une liberté d'évolution, en abandonnant le découpage classique par niveaux des précédents épisodes. Le joueur y incarne Alucard, le fils de Dracula, qui a décidé de mettre un terme au plan machiavélique de son père, et pour cela il décide de prendre d'assaut le château de ce dernier. Devenu à juste raison un titre culte aspirant à instaurer cet esprit d'exploration à la série lui ayant apporté le doux surnom de Metroid-Vania, SOTN est porté par une réalisation http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/RichterBelmontfromSymphonyoftheNight.jpgexceptionnelle. Et son récent retour sur la Xbox Live Arcade est un prétexte supplémentaire à s'attarder une nouvelle fois sur ce titre...

 Toute une question de savoir faire
 Mythique. Tout simplement mythique. Lorsque l'on démarre pour la première fois le jeu, on ne s'attend réellement pas à vivre une entrée en la matière aussi jouissive. Car il n'y a pas d'autre mot pour la qualifier. Le joueur débute le jeu aux commandes de Richter Belmont, en bas du grand tapis rouge conduisant à la pièce où vit Dracula. Gravir ces marches en courant, le tout accompagné par une musique heavy, constitue le premier gigantesque clin d'oeil de SOTN. Tout commence par la fin donc, et cette entrée en la matière fait partie des plus réussies jamais vu dans un jeu. Une fin qui annonce bien évidemment un commencement.
 Suite à cette introduction et à un petit passage de narration, le joueur se voit aux commandes d'Alucard qui pénètre dans le château. La grande porte se referme derrière lui, il n'y a plus qu'à explorer. Car c'est bien là le maître mot de ce jeu exceptionnel. L'exploration est devenue la clef de voûte de la série depuis ce fameux opus. Exit les stages que l'on enchaîne comme dans un jeu d'arcade, ici on prend son temps, on avance, on explore, on revient en arrière : de l'action-aventure dans ce qu'elle peut avoir de plus pur.
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 Une progression maîtrisée
 Si dès le départ le château se livre à nous dans son intégralité, il est évident que l'on n'aura pas accès à tous les lieux immédiatement. En effet la progression a été bridée volontairement, comme dans tout jeu de ce genre, afin d'obliger le joueur à suivre une démarche logique, tel un puzzle dont il faudrait retrouver les pièces dans le bon ordre pour avancer plus loin. Pour cela, notre cher Alucard est un héros aux capacités extrêmement évolutives. Si au tout début du jeu ce dernier ne possède presque aucune capacité, il apprendra par l'acquisition d'artefacts à effectuer des double-sauts, à se transformer en loup, chauve-souris ou en brouillard etc... Autant de possibilités qui assurent une progression agréable sans jamais que le joueur ne se sente bloqué.http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/imagesCA0DVS8W.jpg
 
En ces termes, SOTN emprunte énormément à Metroid, en particulier le dernier opus en date, à savoir Super Metroid qui est un véritable modèle de construction de l'univers et de la progression qui s'y rattache. Cependant SOTN n'arrivera jamais à atteindre un tel niveau de complexité, car ça n'est tout simplement pas l'objectif des développeurs et c'est tant mieu.
 
Le joueur se retrouve donc baladé d'un bout à l'autre du château, et traverse par conséquent des environnements aussi variés que magnifiques. On notera en bonus la présence de deux lieux supplémentaires dans la version Saturn du jeu. Alucard pourra également être amené à invoquer des familiers, dont une fée, une épée, un diablotin etc... Là aussi la version Saturn profite de petits ajouts.
 
Afin donner au joueur un bhttp://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/cvsotnalucard6.jpgon sentiment de progression, le héros gagnera en expérience au fil des combats jusqu'à gagner des niveaux. Des objets augmentant le maximum de points de vie et de coeurs pourront être découverts un peu partout dans le château. Ils sont pour certains extrêmement bien cachés. Les coeurs servent toujours à utiliser des objets secondaires tels que la hache, le couteau ou encore l'horloge. Le joueur possède également à sa disposition un inventaire, et Alucard peut équiper un grand nombre d'objets, en passant par des armes, des boucliers, des armures et autres accessoires etc... De quoi bricoler son aise.

 Gothique à souhait et bande son d'enfer !!
 SOTN est l'épisode de Castlevania le plus réussi dans ses environnements. Tout y est parfaitement maîtrisé, que ça soit les décors ou les palettes graphiques, sans compter la qualité assez exceptionnelle des musiques composées par Michiru Yamane. Aucun épisode par la suite n'a réussi à retranscrire avec une telle habilité l'esprit de Castlevania. Les différents lieux du château sont tout simplement incroyables : la librairie et son thème au clavecin, le hall d'entrée avec sa musique progressive, les mines et leur musique oppressante etc... Sans parler des environnements retravaillés que l'on découvre à la fin du jeu (http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/maria.gifje n'en dis pas plus pour ne pas spoiler, mais sachez qu'une grosse surprise vous attend à la fin du jeu).

 Le bestiaire est également réussi, avec des boss imposants. Le tout est systématiquement introduit avec beaucoup de justesse dans les différents lieux. Il n'y a jamais rien qui puisse sembler ne pas être à sa place. Pour résumer sur la réalisation générale du titre, elle est extraordinaire et a très bien tenu malgré le poids des années. Il faut dire que la 2D affichée par le jeu est d'une grande finesse.

 Speed-Run, Sequence-Breaking et autres Secret Worlds
 Derrière ce titre se cache en réalité l'autre côté de SOTN. Ce dernier épisode, en s'ouvrant à l'exploration, a récupéré par la même occasion de nombreux aspects de la série des Metroid. Tandis qu'il était impossible de faire du Sequence-Breaking dans les anciens Castlevania, tout comme les Secret- Worlds n'existaient très probablement pas, SOTN est devenu un épisode de grande qualité pour les joueurs s'intéressant à cela. Mais de quoi s'agit-il ?
 
Au delà de la simple durée de vie d'un jeu, certains joueurs que nous pouvons qualifier d'hardcore gamers cherchent http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/castlevaniasymphonyofthenight.jpgà exploiter chaque faille et autres aspects d'un jeu. Ainsi, en plus de rallonger considérablement la durée de vie des titres, cela permet souvent de découvrir des choses assez incroyables. Le Speed-Run consiste tout simplement à terminer un jeu dans son intégralité le plus vite possible. Le Sequence-Breaking lui consiste à s'extraire de cet ordre de progression que le jeu tente de nous imposer : puis-je à l'aide d'un moyen ou d'un autre réussir à passer tel ou tel endroit sans pour autant avoir ramasser cet objet ou acquis cette capacité ? Et enfin les Secrets-Worlds sont des bugs qui permettent de passer à travers les décors pour dévoiler de nouvelles régions, et dans le cas de SOTN, agrandir le pourcentage de carte dévoilée.
 
Même si cela ne constitue en rien une véritable qualité du jeu, il me semblait important de préciser que SOTN s'est illustré dans ces catégories, même si ces dernières ne concernent au final qu'un nombre assez restreint de joueurs. Parmi les curiosités que j'ai moi même réussi à accomplir, j'ai été en mesure d'atteindre le bas des escaliers conduisant à la tour de Dracula sans avoir le double saut, mais simplement avec la transformation en lhttp://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/AyamiKojimaMariaRenard.jpgoup. On se retrouve alors bloqué tout en haut car incapable de franchir un gouffre. En revanche il devient possible de visiter la partie gauche du château à l'envers, ce qui est assez particulier car cela provoque des combats avec des boss ou des évènements dans le désordre.

 Plus que parfait,que demander de plus ?
 Le titre bien qu'étant d'une grande qualité, avec plein de petits bonus sympa pour la version Saturn (deux régions en plus, un personnage bonus, objets, familiers etc...) possède quand même son lot de défauts. Tout d'abord la disparition de bon nombre d'effets de transparence sur Saturn, alors qu'il me semble bien en avoir vu des tonnes dans d'autres jeux, comme Shining Force ou Guardian Heroes par exemple. On supposera qu'il s'agissait d'un excès de flemme de la part des développeurs. Dans la catégorie des choses qui tachent, on retiendra aussi les doublages d'une qualité assez exécrable, quoique la version Saturn possède des voix japonaises. Mais cela ne remonte de toute façon pas le niveau des conversations, qui est au plus bas.

 Enfin dernier défaut : la relatihttp://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/gfs5021526.jpgve facilité du titre, et l'étendue peut être trop grande du château, qui devient un peu fastidieux à visiter sur la fin. Pour résumer on a parfois l'impression d'être à une séance de coloriage où le but est de colorier la carte du château afin d'atteindre le pourcentage maximal.

 Note : le jeu étant en japonais, il n'est pas évident de comprendre l'utilité des objets ou encore de reconnaître les armes ramassées etc... Mais le jeu reste tout de même très accessible.
 
Castlevania Symphony of the Night est un jeu d'action-aventure en 2D exceptionnel. Sa réalisation est impressionnante : finesse de la 2D, dimension artistique des lieux, qualité de la musique. Il associe à tout cela une progression captivante et très bien construite, rappelant les schémas de progression de Metroid ou Zelda. L'aventure est très longue, et les bonus extrêmement nombreux. D'autant plus que les joueurs les plus acharnés trouveront encore et toujours des choses à essayer dans le jeu. Les secrets sont d'ailleurs extrêmement nombreux, aussi bien du côté des salles cachées, que des combinaisons d'objets à essayer. Si SOTN est devenu un épisode culte de la série des Castlevania, c'est au final totalement justifié, et c'est à juste titre qu'il est considéré comme le meilleur épisode de la série proposant ce système ingénieux d'exploration. 
http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/7012.jpg
Pour bien debuter sa chasse aux vampires...
Commencer avec 99 luck
Avec une nouvelle partie inscrivez X-X!V''Q en choisisant Alucard comme personnage.

Test voix
Finnissez le jeu avec Alucard et entrez dans le sound test menu. Selectionez l'icone bas a droite de la boite pour entrer au teste voix.

Controler le Loading screen control
  Quand apparait le mot "Now Loading" appuyez sur le D-pad

Afficher la carte
Appuyez start ensuite le boutton L.

Images secretes
mettez le cd-rom de castlevania dans un pc pour trouver le dossier "Omake" afin de regarder des images en bitmap

Commencer avec la axe armor
Insscrivez AXEARMOR dans une nouvelle partie.

Alternative Belmont
Mettez le curseur au choix des personnages sur Richter et faites : maintenir L + R + haut + A.un belmont vetu de bleu qui aura tout les mouvements de richter 

 

Mercredi 21 mars 2012 à 19:07

ASTAL
Sortie éxclusevement Sega Saturn
27Avril,1995
Marche a la pérfection sur l'emulateur SSF en suivant mon réglage d'options

http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/AstalJAPFront.jpg
Je ne sais pas pour vous mais je pense que je suis le seul a faire marcher "Astal" sur l'emulateur SSF en algerie en tout cas !!
au début j'avait un pc puissant mais quand je lance le iso astal j'avais toujours l'écran noire et depuis ce jour jai laissé tomber mon astal et abondoné l'espoir de jouer ce magnifique http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/AstalJAPCD.jpgjeu,bref  de ce fait jai conclué des choses importantes,le iso etait parfait et n'avait pas de probléme et l'emulateur lui manqait quelques modifications donc.....il me fallait fouiner un peu dans le net,et forums jusqua' au jour ( 2 ans ont passé vous vous rendez compte ) ou je tombe sur quelqun comme moi qui réve de jouer a ce jeu mais hélas a le méme probléme que moi "le maudit l'ecran noire" c'est alors qu'un autre lui répond dans le méme forum que des rumeurs disent qu'il faillait cocher certaines options pour que ça marchait !!!! donc il fallait tout essayer et une étincelle d'espore me vient en téte je télécharge la dérniére version de SSF (meilleur émulateur a ce jour d'aprés moi) je coche je décoche comme un fou pendant des heures et résultat astal marche 100% aucun ralentissement aucun bug alors pour jouer a ce jeu faites les réglages suivants sur la dérniére version de l'émulateur  SSF_012_beta_R3 et voici la preuve que jai joué et fin le jeu .

http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/hassensega.jpg
http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/001.jpg http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/002.jpg
http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/003.jpg http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/004.jpg
 Sega saturn le réine des jeux 2D
Astal a l’honneur et l’avantage de figurer à mes yeux parmi les plus beaux jeux de plate-forme en 2D. Sa beauté ne l’a pas empêché de sortir au début de vie de la Segasaturn. Tous les regards des gamers se tournaient alors vers cette dernière, espérant d’autres titres aussi jolis : visiblement, la 32 bits de Sega était capable de gérer un déluge d’effetshttp://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/Ssastallvl3-copie-1.jpg spéciaux simultanément. Zooms, rotations, distorsions et mode 7 étaient légions. Les décors superbes composés de bitmaps énormes aux tons très pastels, semblent être entièrement croqués à la main. Les scrollings très nombreux n’étaient pas là que pour faire de la figuration, la perspective fait partie de la mise-en-scène dans Astal : les ennemis viennent de l’avant-plan ou de l’arrière-plan pour vous attaquer mais attention, l’action se borne au plan principal. Les sprites de grande taille apparaissent très nombreux à l’écran et sont animés divinement. Les musiques enchanteresses tranchent avec l’action soutenue du jeu. Le gameplay précis n’est pas en reste. Pas de doute, Astal allait faire date dans le cœur des Segalopins.
 
  Réalisation parfaite pour un jeu parfait
L’intro du jeu est un splendide dessin animé avec des scènes magnifiques pour les yeux. le tout chanté par un générique de pur bonheur que je regarde encore aujourd’hui en boucle avec délice. La fiancée d’Astal vient de se faire enlever par le vilain du jeu. Ce dernier se http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/ssastalanime28-copie-1.jpgfiche pas mal de la demoiselle, il veut juste récupérer la rançon : un cristal magique qui donne à Astal une force incroyable comme créer de petits tremblements de terre capables d’immobiliser des ennemis pendant quelques secondes. Astal peut ainsi plus facilement approcher ses adversaires pour les saisir violemment et les projeter de plus belle. Plus original et féérique, Astal peut gonfler sa cage thoracique (en appuyant simplement vers le haut) et souffler sur ses ennemis afin de s’en débarrasser. Souffler sur certains ennemis avaient aussi comme conséquence de les faire tournoyer. Mais désarçonnés, il sera plus facile de les aborder. Astal peut aussi soulever des objets très lourds comme d’énormes rochers ou déraciner des plantes très hautes. L’interaction avec les décors est déjà très grande. Et cette immersion fait vraiment plaisir à voir. On est littéralement happé par l’ambiance du jeu.
 
 Un ou deux joueurs a vous de voir
Une des forces d’Astal est de proposer un mode deux joueurs. A partir du moment ou vous avez libéré votre fiancée que le méchanpabo a transformé en oiseau, vous allez pouvoir jouerhttp://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/05243.jpg à deux. Rassurez-vous, cela arrive au cours du premier stage ! L’oiseau n’est pas aussi fort qu’Astal au corps à corps mais il peut voler ! Enfin, il est capable d’exécuter des coups spéciaux dont lui seul à le secret mais plus ou moins coûteux en magie. Celle-ci se recharge automatiquement. Une barre de vie représentée par des fruits peut-être réalimentées en récupérant ces pressieurs fruits au passage. Un des coups spéciaux de l’oiseau est d’ailleurs de vous ramener un fruit. Si vous jouez seul, vous pouvez donner des ordres à ce dernier. C’est là où on remercie la manette 6 boutons de la Saturn, qui officie avec merveille afin de séparer clairement les différents ordres accessibles.
 http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/04295.jpgUne caractéristique intéressante du jeu est la possibilité de déclencher le mode deux joueurs ou de l’abandonner quand bon vous semble. Imaginons que vous jouiez seul. Un ami est de passage juste pour une heure. Il prend le contrôle de l’oiseau simplement en prenant la deuxième manette en main. Attention cependant car la jauge de vie devient commune aux deux joueurs, l’oiseau n’est plus intouchable comme lorsque vous jouez seul ! Puis, l’heure de partir arrive : quelques secondes après avoir lâché la manette, l’ordinateur reprend le contrôle de l’oiseau qui vous suit calmement tout en attendant qu’Astal lui lance un nouvel ordre en sifflant avec ses doigts.
 
 Que demander de plus ?
Jouer à Astal est une expérience que je souhaite à chaque gamer. Si vous ne possédez pas http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/AstalJAPFrontI.jpgce jeu mais que vous avez encore votre Saturn, sachez que vous pouvez le trouver quand même assez facilement. J’ai eu la chance de le croiser en boutique à 10 euros il y a quelques années. Aujourd’hui, il doit sans doute être un peu plus cher mais devrait rester abordable. C’est en tout cas un jeu à posséder dans sa ludothèque : je pense avoir terminé ce jeu une dizaine de fois. Alors si certains, dont moi, prient pour avoir un jour une suite pour Nights Into Dream, je n’oublie pas les heureux moments passés sur ce jeu et ma foi, si cette merveille devait revenir au devant de la scène, je serais le premier à hurler ma joie afin de retrouver ce jeu dont les boss ont un esprit "Treasurien". Si avec ça vous n’êtes pas encore convaincus !
 
 Le periple du jeune astal est long et perilleux donc quelques codes s'imposent
Activer le mode secret 
Faites Left, Right, Left, Right, Up, Down, L, R, Start de la 2éme manette dans le menu options. Astal va crier et la phrase "Secret Mode" va apparaitre en haut de l'ecran
99 vies
Enter the secret mode code. Highlight the lives option and change it to 99.
Refaire le plien dénérgie
Press Start to pause the game. Quickly press Down, R, Up, L, X, A, Y, B, Z, C, Right, Left. A chime will confirm correct code entry.
Invincibilité
Mettez le jeu en pause. faites rapidement bas, Y, gauche, A, bas, B, droite, C. A l'oiseau va siffler pour tout confirmer. et refaites pause et faites haut, Y, gauche, A, bas, B, droite, C.
Suicide !!???
Mettez le jeu en pause et faites L, A, R, C, B. Astal va mourir .appuyez Start pour retourner au debut du niveau. 
Stage select
Entrer dans le mode secret.Retourner au titre et faites haut, bas, gauche, droite, L, R, A, Y, C, Z, B, X. Astal va crier pour confirmer la manipulation. "stage select" va apparaitre au menu.
 

Mercredi 21 mars 2012 à 17:42

SHINOBI X
30 juin 1995 au japon
Sortie éxclusivement sur sega saturn

Le jeu marche trés bien sur l'emulateur SSF

http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/coverrectojh3.jpg
Il est inutile de présenter Shinobi, personnage ayant donné lieu à une série mythique en arcade et sur console de SEGA (et plus tard sur playstation,GameBoy Advance et 3DS). Si on peut compter sur de grands hits comme Shinobi, Revenge of Shinobi ou Shadow Dancer, il reste toutefois un épisode très peu connu : Shin Shinobi Den (titre japonais) dit Shinobi X chez nous (ne me demandez pas pourquoi le X, cela reste un mystère) sur saturn. 
Et pour cause, on est ici très loin des jeux de l'époque. SEGA a crée un épisode totalement atypique qui surfait sur la mode des images Digitalisées. Un ovni dans la série.
 
Un scénario atypique pour un shinobi.
Le jeu commence alors que la fiancée de Shinobi est enlevée par un méchant ninja qui convoite ses pouvoirs mystiques. Il va donc se servir d'elle pour devenir le combattant le http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/film2rw5.jpgplus fort, et piéger Shinobi par la même occasion.
 
 Mais là où Shinobi X fait très très fort, c'est que tout ce scénario est mis en scène par de véritables films. Et là, je vous promets des moments cultes, digne des plus mémorables X-Or, ou série B (voir carrément Z) japonaise :D. Les acteurs y sont pitoyables, les effets spéciaux à mourir de rire, les combats ridicules au possible. De grands moments de cinéma.
 

 ...MAIS PAS TROP !
 Pour atteindre la cachette du frangin psychopathe vous allez devoir traversez 9 niveaux a travers l'Asie (Japon et Chine en fait). La plupart des décors sont des remakes/ clins d'oeil des niveaux existants dans les versions MD, ainsi le niveau 1 rappelle furieusement le http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/31393595uf3.jpg1er stage de « la revenge of Shinobi », ainsi que le stage de la mine (L5) semble bien inspiré de la grotte de Shinobi 3 et ce ne sont pas là les seuls exemples. On ne peut pas dire que les programmeurs se sont cassés le tronc pour élaborer les décors, certes les clins d'oeils c'est toujours sympa mais fallait en faire pour tous les stages ? Surtout que si sur MD les stages regorgeaient de couleurs ici c'est loin d'être le cas, entièrement digitalisés les décors (ainsi que les personnages) sont la plupart du temps très sombres ou a base de gris et de marrons pas des plus joyeux, heureusement que certains arrières plans s'en sortent mieux, mais le bilan graphique est assez moyen au final, il y a coté Mortal Kombat qui ne va pas avec vraiment avec l'ambiance générale que l'on a connu jusqu'à présent sur la série.
 Heureusement la jouabilité est elle de très bonne facture, mis a part le double saut pas toujours évident a sortir dans les moments de tensions (moments peu nombreux hélas). C'était déjà le cas dans les précédents épisodes mais ce Shinobi Saturn est un peu plus rouillé au niveau de cette action et il est clair que cela prends vite la tête de mourir comme un con plusieurs fois de suite au même endroit parce que le double saut ne s'est pas déclenché chose qui arrive très souvent dans le stage 7 ou il faut sauter de barques en barque sans tomber a l'eau.

GAMEPLAY X32.
 Pour le reste on retrouve les mouvements auxquels ont à l'habitude, mais cette version 32 Bit propose un gameplay totalement différents des opus 16 Bit. Si sur MD on élimine les ennemis a distance a coups de shurikens la plupart du temps (le Katana se déclenchant tout seul lors des corps a corps).
 Cette fois le Katana est notre arme principale et oblige vraiment a aller au contact dehttp://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/emvideoyoutubeWOD1nsvu1vU.jpg l'ennemi, car même si les Shurikens (des couteaux pour cet épisode) sont toujours présents il le sont en nombre tellement limité que l'on est vite a sec si on joue comme sur MD, surtout que l'on en trouve pas des masses non plus planqués dans les niveaux !
 De ce fait la panoplie de mouvements est vraiment fournie ; c'est bien là le point fort du jeu puisque c'est prêt d'une trentaine d'action que notre Ninja peut effectuer ! Coups de Katana, lancer de couteaux, saut, double saut, parer avec le katana en avançant ou restant immobile, rouler boulé avec ou sans plantage du katana, j'en passe et bien d'autres ! Cerise sur le gâteau, pour économiser ces couteaux on a la possibilité de renvoyer ceux que nous lance les ennemis en donnant un coup de katana dedans, cela se révèle plutôt efficace pour peu que l'adversaire n'ait pas l'idée d'en faire autant également! (Dans ce cas c'est le meilleur au tennis qui gagne !)
 J'en profite pour signaler que le coup de pied de Shinobi 3 a tout simplement été supprimé, cela est sans doute du au fait de la capture de mouvement qui aurait donne un effet visuel pas terrible a l'écran je pense, il n'y a qu'à voir la gueule du saut d'une paroi a une autre tout simplement ridicule visuellement sur cette version. La magie est évidemment toujours de la partie, mais la aussi quelques changements sont intervenus par rapport a ce que l'on connait. On a bien toujours notre Ninjutsu en réserve mais c'est désormais une seule et unique magie. Les autres sont sous formes d'options que l'on trouve dans certains niveaux, notamment celle du méga saut et une autre faisant appel au dieu de la guerre ; ce dernier se matérialisant derrière nous a chaque coup donné et tuant net tous les ennemis entrant en contact avec son hologramme. Efficace mais de courte durée!

DIFFICULTE INSURMONTABLE !
 Jusqu'ici on peut donc dire que ce Shinobi X rempli son contrat et est donc fidèle à la série en terme d'intérêt ; hélas ce n'est pas le cas car l'action se révèle être très molle, les niveaux sont au final peu intéressants a jouer, et du coup l'ennui gagne vite le joueur. Cela est en partie du a une difficulté tout simplement inhumaine, la progression se fait http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/Shinobi20X20E.jpgconvenablement jusqu'au niveau 5 et là.. c'est le drame !
 On se retrouve à refaire des dizaines de fois les mêmes passages sans progresser d'un centimètre pour cause de mort fréquente. Certes il faut bien de la difficulté dans un jeu mais il y a des limites parfois c'est a se demander si le jeu a été testé avant d'être finalisé et mis en vente. Apres des heures et des heures, voire des mois de pètages de plombs, vous arriverez sûrement devant le boss final et là n’espérez pas réussir a le vaincre sans utiliser des accessoires style Action replay car c'est tout bonnement impossible, contenter vous de la satisfaction d'être arriver jusqu'à lui avec assez de vies en stock pour pouvoir au moins lui mettre 1 ou 2 coups de katana !
 Comment voulez noter un jeu ayant un tel défaut, pourquoi devoir investir dans un accessoire rendant le titre plus simple pour pouvoir en profiter pleinement ? Rien que pour ça l'intérêt général en prend un sacré coup ; super j'ai un jeu mais je ne peux pas le finir ! Et ce n'est pas tout.

HABILLAGE RIDICULE.
 Depuis que la saga existe sur les différentes consoles (+ l'arcade) Shinobi à toujours été un personnage très charismatique, le Ninja sans peur, sans reproche qui ne craint rien du tout.
http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/10494565uo8.jpg
 Ici ce charisme s'écroule en a peine 2 minutes, le temps de regarder la séquence d'introduction du jeu. Entièrement réalisée en vidéo avec des « acteurs » Live, c'est tout simplement le pire truc qu'il m'ait été donné de voir, à coté un épisode de BioMan c'est du Godard ! Costumes pitoyables, Shinobi ne ressemble a...Rien et je ne parle pas du méchant qui fait plus rire que peur avec sa couronne en carton sur la tête, la mise en scène est a la ramasse totale, les effets spéciaux sont d'un autre age (pas de 1995 en tout cas), leshttp://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/pixSSD01583.jpg bruitages lamentables bref c'est tout simplement honteux pour une licence comme Shinobi ; même l'acteur jouant le rôle titre a le charisme d'une pelle à neige !
 Au final cette catastrophe cinématographique joue clairement en défaveur du jeu, ce qui rajouté aux défauts précédemment cités finissent de démonter l'univers mis en place depuis le début de la saga. (Un peu comme si Michael Youn reprenait le rôle d'Indiana Jones... Ben ça le fait pas !)
 Si encore il n'y avait que l'intro, mais la production a eu un budget vidéos, et on donc droit a ce genre de cut-scènes Biomanesques entre chaque niveau ce qui devient tout bonnement insupportable ; heureusement que l'on peut les zapper !

POUR EN FINIR.
Comment Sega a pu rabaisser son personnage culte aussi bas dans ce jeu finalement bien moyen. Il y a pourtant un potentiel énorme au vu des possibilités donné par un gameplay vraiment fantastique mais tout ça se retrouve massacré par une action molle un habillage honteux et une difficulté vraiment pas du tout optimisée (même en jouant en EASY) c'est vraiment par un beau gâchis que la saga a pris fin sur consoles Sega. Vraiment pas de quoi se réjouir d'une telle descente aux enfers, un jeu pas vraiment indispensable sauf peut être pour les fans de BioMan. Du coup je retourne pleurer dans ma chambre devant un tel désastre.

ON CHANGE TOUT...
 Pour cet épisode c'en est fini de la menace Néo Zeed, ici c'est une affaire (plus ou moins) de famille qu'il va falloir régler à coup de pains dans la gueule pour éviter le chaos ! Depuis la fin de la guerre civile, les guerriers Ninja et le code Ninjutsu ont presque totalement disparu ; il ne reste plus qu'un seul maître qui a retrouver seulement 3 enfants ayant les prédispositions nécessaires pour devenir Ninja : 2 frères, Kazuma et Sho ainsi que sa propre fille, Aya.
 http://sega-saturn-blog.cowblog.fr/images/gfs9336513.jpgApres 15 ans passer a apprendre les règles et techniques Ninja, l'aîné des garçons, Kazuma, joue son rebelle et refuse tous les enseignements de Ninjutsu à l'exception de la technique dite « de la Force ».Son maître refusant,il s'en va en jurant qu'il reviendra se venger... Aya et Sho eux continuent de suivre les leçons du maître. Pendant ce temps Kazuma s'occupe en construisant une forteresse, lève une armée et une fois celle-ci au point revient enlever Aya... Je vous laisse deviner quelle est la rançon demandée !
 C'est donc vous, Sho, qui partez délivrez la belle non sans avoir au préalable aiguiser couteaux et katana pour botter le cul du frangin, qui a bien morflé durant ces années d'exil.

La voie d'un ninja est parfois difficile,alors quelques codes s'imposent
Visionez les sequences FMV
Pressez C, X, B, Y, A, Z, Start pendant la sequence d'introduction 
999 shurikens
Mettre en surbillance "Shurikens" dans le menu "option". maintenir L + R et appuyez C,A,B.
99 vies
Mettez en surbillance "Game Start", rapidement faites A, Z, B, Y, C, X, et start 
 selectioner le niveau
Pausez le jeu et faites A, B, A, B, C. Pressz gauche ou droite pour changer de niveau et start pour commencer. 
 Difficulté éxpert
Mettez en surbillance "Game Start",et faites A, B, C, B, A, Start. Le jeu debutera avec aucune vie,aucune continue,et seulement une barre de vie..

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